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4 commentaires:

  1. Cela semble un "cours particulier" de maths. Particulier parce que mettant en présence une enseignante et un élève seul mais aussi parce qu'un martinet pend à côté du tableau et qu'il a visiblement zébré les cuisses du garçon en culotte courte, ce qui semble l'avoir "stimulé".
    J'ai connu moi-aussi ce genre de situation. J'avais 15 ans et c'était pour des cours de lettres-latin-grec. J'avais des notes trop passables alors que j'étais plutôt "littéraire" et ma mère voulait absolument que j'atteignis un bon niveau. Une enseignante exigeante fut choisie par ma mère. Nous discutâmes à trois des modalités des cours. Le martinet, qui pendait toujours bien en vue, avait rythmé ma scolarité pendant plusieurs années mais il ne servait plus. Cependant j'admis qu'il m'avait toujours fait progressé.
    - Pourrait-il continuer à rendre des services ? s'enquit l'enseignante.
    Je regardai ma mère et fis "oui" de la tête. Maman approuva. J'étais de petite taille et portais encore volontairement des culottes courtes à la grande satisfaction de ma mère.
    Il fut convenu que j'aurais plusieurs heures de cours chaque semaine mais que les "petites" vacances scolaires seraient mises à profit pour des cours plus intensifs.
    - Mon garçon, il est bien entendu que tu seras toujours en culottes courtes pour tes cours avec moi. je n'accepte ni la paresse ni la nonchalance au travail. Si tu n'es pas assez attentif en cours, je n'hésiterai pas à me servir du martinet, tu es prévenu. Tu auras des leçons à apprendre et des devoirs à effectuer et si tes notes sont insuffisantes tu seras puni au martinet aussi. Mais comme à l'école il y aura également des devoirs supplémentaires et des retenues. J'ajoute qu'un "littéraire"se doit d'avoir une excellente orthographe ; aussi pour chaque travail écrit, je n'admettrai pas plus de cinq fautes d'orthographe, au-delà ce serait le martinet.
    L'enseignante attendit mes réactions et celles de ma mère. Nous nous regardâmes. il était clair qu'avec ces cours le martinet reprendrait une place active dans mon apprentissage.
    - Mon chéri, le martinet a été très efficace avec toi. Tu avais toi-même reconnu qu'il t'obligeait à travailler le mieux possible. Je sais bien que c'est assez douloureux et que tu seras encore obligé d'exposer tes cuisses striées par les lanières ; c'est assez humiliant mais avec ton orgueil, je suis sûre que tu feras en sorte que cela n'arrive pas trop souvent.
    Ma mère était donc favorable à un retour du martinet et m'encourageait à accepter cette discipline sévère.
    - Je suis d'accord avec vos conditions, Madame.
    - Ce qui veut dire que tu acceptes aussi d'être à nouveau puni au martinet, non plus par ta maman mais par moi.
    - Vous pourrez me corriger chaque fois que je le mériterai.
    Pendant un an, je suivis ces cours particuliers et je progressai tant en français qu'en latin. Mais ce fut rude ! L'enseignante ne m'épargna pas le martinet et rares furent les cours où il ne servit pas. A de nombreuses reprises, mes cuisses connurent les stigmates du martinet comme le garçon de ce dessin.

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  2. Suite de mon commentaire

    Ces cours particuliers se déroulaient selon les jours soit à la maison soit au domicile de l'enseignante. Chez nous, celle-ci avait à sa disposition le martinet familial qui pendait au salon tout près de la salle à manger où se passaient les cours. De son côté, elle avait une petite salle de cours dans une pièce à l'étage avec un petit tableau mural. Compte tenu que ces cours particuliers se dérouleraient dans un climat de travail exigeant et de sévérité, elle avait acquis un solide martinet de cordonnier à cinq ou six lanières carrées à la fois épaisses et souples, assez proche de celui qui servait à la maison. Elle le rangeait dans un tiroir de son bureau et le sortait à chaque début de cours, histoire de rappeler l'ambiance.
    J'étais alors en seconde "A" menant à un bac "littéraire" d'où l'importance de ces cours particuliers payés en partie par un de mes oncles journaliste. Ayant accepté un retour à une discipline stricte et sévère pour ces cours particuliers, ma mère me demanda s'il ne serait pas logique d'appliquer encore cette même sévérité pour mes résultats scolaires. J'en admis la nécessité avec raison. Mais nous convînmes que ce ne serait que pour les matières littéraires (français, latin, grec, langues, histoire-géo) J'étais donc reparti pour une année scolaire supplémentaire empreinte de rigueur et de sévérité. Les vacances de la Toussaint arrivaient et elles seraient absorbées par mes premiers cours particuliers.

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  3. Récit 3

    Pour mon premier cours chez l'enseignante, Madame N., Maman m'avait habillé d'une culotte très courte grise en tergal qui dévoilait la majeure partie de mes cuisses.
    - Tu es parfait en culotte courte ; on te donnerait à peine 13 ans. Sache que je considère qu'à 15 ans, on a encore l'âge des culottes courtes...Pourquoi ne vas-tu pas au lycée en culottes courtes ?
    - En seconde, aucun élève n'en porte ; en 3°, il y en avait encore quelques-uns, mais là je serais le seul.
    - Pourtant en dehors du lycée tu as remis toi-même des culottes courtes et c'est toi aussi qui a réclamé à ta maman le retour du martinet.
    - En 3°, j'étais excellent en français ! Mais en seconde, le prof, un prêtre assez pédant note sec et je n'ai eu que 10 et 9 aux deux premiers devoirs. J'étais vexé et m'en voulais. Je trouvais que ces notes méritaient le martinet. Comme je devais apprendre le grec en cours particuliers, Maman a proposé d'étendre ces cours au français et au latin. Puisque j'avais souhaité le retour de la sévérité, il nous a paru normal que celle-ci s'applique pour ces cours.
    - Et ça me convient tout à fait. Cette année, tu seras mon seul élève en cours particuliers et comme je n'enseigne qu'à temps partiel, j'aurai beaucoup de temps à te consacrer.
    Elle sortit d'un tiroir du bureau un martinet qu'elle me mit sous le nez. Il possédait six lanières de cuir carrées épaisses et souples assez proche de celui de la maison.
    - Je l'ai commandé chez votre droguiste. Elle te connait bien et trouve que tu es un "bon client" pour le martinet. Je l'ai acheté pour toi et il servira sur tes cuisses chaque fois qu'il le faudra. Nous sommes d'accord ?
    - Je vous l'ai dit, vous pourrez me corriger chaque fois que je le mériterai.
    - J'en ai discuté avec ta maman. Pour les leçons et devoirs, tu devras obtenir au moins 12, comme ta maman l'exigeait jusqu'en 3° et nous appliquerons son barème de punition. Pour l'orthographe, je te rappelle : pas plus de 5 fautes pour les travaux écrits, et gare à toi si tu n'es pas assez attentif lors de mes cours.
    Elle me tendit ensuite trois cahiers, un pour chaque matière ainsi qu'un livre de grec pour débutant. Puis elle me montra un gros carnet assez épais.
    - Ce sera ton carnet de suivi. J'y noterai le contenu de chaque cours, les leçons et devoirs à faire, les notes de ceux-ci. J'y inscrirai aussi les punitions au martinet, les devoirs supplémentaires et s'il y a lieu les retenues.
    Je serrai mes cuisses l'une contre l'autre et mes mains se posèrent à la lisière de la culotte courte.
    - Le jeudi après-midi deux heures de cours sont prévues. Si ton travail et ton comportement à mes cours ne sont pas satisfaisants, deux heures de retenues s'y ajouteront...Quelle punition prévoit ta maman pour une retenue ?
    - 20 coups de martinet par heure, dis-je d'une voix hésitante ; mais ce n'est arrivé qu'une fois.
    -Ce sera le même tarif avec moi : 20 coups au début et 20 autres à la fin des 4 heures. Te voilà prévenu !
    J'étais atterré ! mes épaules bien droites se relâchèrent et j'avais les larmes aux yeux.
    - Je vais voir avec ta maman mais en fonction de tes résultats en classe et avec moi, tu retourneras en classe en culottes courtes à titre de punition complémentaire.

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  4. Rien que la vue du martinet pouvait être stimulante pour le travail scolaire

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