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1 commentaire:

  1. J'avoue qu'enfant il m'est arrivé de rêver du martinet. C'était après avoir vu un copain en recevoir ou quand j'en fus menacé à deux reprises sans que ce fut suivi d'effet. J'imaginais le recevoir à mon tour sur les cuisses. Il produisait en moi un mélange de crainte et de curiosité d'autant plus que j'y échappai. Vers 9-10 ans, intérieurement je pensais le mériter car je n'étais pas toujours très sage. A 11 ans lorsque ma mère passa au martinet suite au redoublement de ma 6°, je ne protestai pas et accueillit "mon" martinet avec résignation. Une fois en service sur mes cuisses, surtout pour mes notes insuffisantes, le martinet ne me fit plus rêver. Il produisait ses effets me laissant les cuisses striées que mes culottes courtes permettaient d'admirer. Je n'en voulais pas à ma mère et je compris qu'elle ne désirait que mon bien en m'incitant à travailler de mon mieux. Le martinet prouvait son efficacité par l'amélioration très nette de mes notes. Finalement je reconnus auprès de ma mère les bienfaits du martinet et sa nécessité dans mon éducation. Ainsi entre 13 et 16 ans, je me soumis de mon plein gré à la discipline du martinet pour me maintenir à un bon niveau scolaire. Le martinet ne me faisait plus rêver mais relevait plutôt du domaine de la raison.

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