Ce garçon pose devant une colonne antique et sa maman le prend en photo. Ils sont en vacances mais porte sur l'arrière de ses cuisses les stigmates d'une correction récente. Les vacances n'excluent pas la discipline ; ainsi lors de cette visite il a la honte d'exhiber ses cuisses marquées aux yeux de tous les autres vacanciers. Durant les vacances d'été, ma mère n'emmenait pour moi que des culottes courtes et des shorts, et ce jusqu'à 16 ans passés. Entre 13 et 15 ans, elle plaçait le martinet dans ma valise. Si nous étions à l'hôtel, elle le plaçait dans l'armoire mais en gîte il était suspendu bien en vue. Et il servait à chaque fois, soit pour me discipliner soit pour mes devoirs de vacances. A 16 ans, nous partions avec une ses amies dans un gîte. Elle ne prit pas le martinet. Cependant elle n'était pas en mal d'inspiration. Lors d'un pique-nique au bord d'une rivière, elle me rappela deux fois à l'ordre pour des écarts de langage. A la troisième, elle se leva, coupa une fine baguette et la tailla et m'ordonna de me mettre en position courbé, les mains sous les genoux et elle me cingla les cuisses d'une vingtaine de coups me tirant de petits gémissements. Des promeneurs passèrent et s'amusèrent de la scène. Son amie approuvait la punition. Je n'étais pas fier ! - Quand nous serons de retour au gîte, tu auras un long piquet à genoux. Pour une fois que je n'emmène pas le martinet ! - Vous pourrez en acheter un au marché, proposa son amie. - Non, cette baguette a rempli son devoir ; je vais l'emmener au gîte car je crois bien qu'elle resservira. Ce qui arriva.
Ce garçon pose devant une colonne antique et sa maman le prend en photo. Ils sont en vacances mais porte sur l'arrière de ses cuisses les stigmates d'une correction récente. Les vacances n'excluent pas la discipline ; ainsi lors de cette visite il a la honte d'exhiber ses cuisses marquées aux yeux de tous les autres vacanciers. Durant les vacances d'été, ma mère n'emmenait pour moi que des culottes courtes et des shorts, et ce jusqu'à 16 ans passés. Entre 13 et 15 ans, elle plaçait le martinet dans ma valise. Si nous étions à l'hôtel, elle le plaçait dans l'armoire mais en gîte il était suspendu bien en vue. Et il servait à chaque fois, soit pour me discipliner soit pour mes devoirs de vacances. A 16 ans, nous partions avec une ses amies dans un gîte. Elle ne prit pas le martinet. Cependant elle n'était pas en mal d'inspiration. Lors d'un pique-nique au bord d'une rivière, elle me rappela deux fois à l'ordre pour des écarts de langage. A la troisième, elle se leva, coupa une fine baguette et la tailla et m'ordonna de me mettre en position courbé, les mains sous les genoux et elle me cingla les cuisses d'une vingtaine de coups me tirant de petits gémissements. Des promeneurs passèrent et s'amusèrent de la scène. Son amie approuvait la punition. Je n'étais pas fier !
RépondreSupprimer- Quand nous serons de retour au gîte, tu auras un long piquet à genoux. Pour une fois que je n'emmène pas le martinet !
- Vous pourrez en acheter un au marché, proposa son amie.
- Non, cette baguette a rempli son devoir ; je vais l'emmener au gîte car je crois bien qu'elle resservira. Ce qui arriva.
Belle histoire de shingledthighs. Oui, les vacances doivent être éducatives.
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