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4 commentaires:

  1. Quand on est presque toujours en culotte courte ou en short et qu'on reçoit une éducation au martinet, l'inconvénient majeur est d'avoir à exposer ses cuisses zébrées par les lanières à la vue de tous. Un certain sentiment de honte m'envahissait à chaque fois. "Cela fait partie de la punition" disait ma mère. Certes les stries disparaissaient au bout d'un jour ou deux, voire trois. Ces marques attiraient des sourires ironiques et parfois des commentaires peu agréables dans la rue, chez des commerçants ou à la messe. En classe certains élèves se moquaient parfois mais dans l'ensemble la plupart de mes camarades évitait d'en parler ; chez eux aussi fessée et martinet pouvaient encore avoir leur place. Moi-même apercevait quelques fois des zébrures familières sur les cuisses de certains d'entre eux. D'ailleurs on félicitait souvent ma mère pour l'éducation sévère qu'elle me donnait.

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  2. Un éducateur peut être fier de montrer en public que son garçon est bien dressé. En tant soumis, je ressens cette honte quand je voyage en culotte courte et parfois avec les cuisses marquées.

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    1. Oui c'est terriblement mortifiant et excitant à la fois. Je me souviens j'avais 26 ou 27 ans, j'étais en Normandie une semaine en vacances chez un fesseur qui était membre de CLEF et celui-ci, alors que j'avais encore des marques sur les cuisses de la fouettée au martinet de deux jours avant, m'a fait mettre un short bien court, un de sport et j'ai été avec lui faire les courses dans un centre commercial. J'étais rouge de honte, je ne savais plus où me mettre et j'avais peur de croiser quelqu'un que je connaissais. Pourtant il y avait quand même de l'excitation.

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